Mandat de syndic

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Externalisation de la reprise de nouveaux immeubles

Les Reprises de Nouveaux Mandats de Syndic
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Le mandat de syndic joue un rôle crucial dans la gestion d’une copropriété. Ce professionnel ou non professionnel, choisi parmi les copropriétaires, est désigné pour une durée limitée, généralement trois ans. Sa mission, encadrée par un contrat, comprend diverses responsabilités et obligations envers la copropriété. Un changement de syndic peut être envisagé à la fin du mandat, à l’issue d’une mise en concurrence et d’un vote en assemblée générale.

Comprendre le rôle du syndic

Responsabilités et obligations du syndic

Le syndic a un rôle clé dans la gestion de la copropriété. Parmi ses responsabilités, il doit assurer la conservation de l’immeuble, ce qui comprend son entretien et la réalisation des travaux nécessaires. Il est également en charge de la gestion financière de la copropriété, ce qui implique la préparation du budget prévisionnel, la perception des charges auprès des copropriétaires et la tenue des comptes.

Par ailleurs, le syndic est le représentant légal du syndicat des copropriétaires. Il représente donc la copropriété dans tous les actes civils et en justice.

Enfin, le syndic doit veiller au respect du règlement de copropriété et des décisions prises en assemblée générale.

  • Assurer la conservation de l’immeuble
  • Gérer les finances de la copropriété
  • Représenter le syndicat des copropriétaires
  • Veiller au respect du règlement de copropriété

Le syndic est soumis à une obligation de moyens et peut voir sa responsabilité engagée en cas de faute ou de négligence dans l’exercice de ses fonctions. Il est donc essentiel qu’il souscrive une assurance de responsabilité civile.

Le syndic professionnel versus le syndic bénévole

Le choix entre un syndic professionnel et un syndic bénévole est une décision importante pour une copropriété.

Le syndic professionnel est généralement une personne ou une entreprise experte en matière immobilière. Il dispose des compétences nécessaires, une expérience significative et une connaissance juridique approfondie pour gérer de manière efficace et professionnelle une copropriété. Il offre un gain de temps considérable et permet de prendre de la distance dans la relation entre copropriétaires.

En revanche, le syndic bénévole est un copropriétaire qui a été élu par l’assemblée générale pour remplir les fonctions de syndic. Il n’a pas besoin d’être titulaire d’une carte professionnelle, ni d’assurance responsabilité civile, ni de fournir des garanties financières. Cette solution est souvent économique et offre une gestion plus proche et personnalisée de la copropriété.

Cependant, il est important de noter que les responsabilités et les obligations du syndic, qu’il soit professionnel ou bénévole, sont les mêmes.

L’importance du syndic dans la gestion immobilière

Le syndic joue un rôle fondamental dans la gestion immobilière. En effet, il est en charge de l’administration et de la gestion des parties communes de l’immeuble, ce qui comprend l’entretien, la réalisation des travaux nécessaires et la gestion financière. Il est également chargé de veiller au respect du règlement de copropriété et des décisions prises en assemblée générale. Le syndic est aussi responsable de la représentation du syndicat des copropriétaires, ce qui inclut les interactions avec les tiers et la gestion des éventuels litiges.

Il est à noter que le rôle du syndic ne se limite pas à la simple gestion administrative ou financière. Il doit être capable d’anticiper les besoins de la copropriété en termes d’entretien et de rénovation, et de gérer les tâches administratives telles que la mise à jour des listes des occupants de l’immeuble, l’organisation de l’assemblée générale annuelle et l’envoi des convocations aux propriétaires.

La pratique du métier de syndic nécessite donc des compétences diverses et variées, qui témoignent de l’importance de ce rôle dans la gestion immobilière. Que le syndic soit professionnel ou bénévole, il doit faire preuve de rigueur, d’organisation et de disponibilité pour assurer une gestion saine et pérenne de la copropriété.

La durée du mandat de syndic

Qu’est-ce que ça veut dire « durée de mandat » ?

La « durée de mandat » se réfère essentiellement au laps de temps pendant lequel un syndic a le droit légal d’exercer ses fonctions au sein de la copropriété. Cette durée est généralement fixée par un contrat et peut varier en fonction de multiples facteurs tels que le type de copropriété ou les circonstances spécifiques. La durée de mandat permet de définir clairement le début et la fin des responsabilités du syndic. Elle est généralement fixée à trois ans, mais peut être raccourcie si l’assemblée générale des copropriétaires le décide. Il est crucial de noter que ce terme est renouvelable, ce qui signifie qu’à la fin de la durée de mandat initiale, le syndic peut être réélu pour une nouvelle période.

Durée maximale et renouvellement du mandat

La durée maximale d’un mandat de syndic est généralement de 3 ans, renouvelable. Néanmoins, dans certains cas particuliers, comme lorsque le syndic a participé à la construction de l’immeuble, cette durée est limitée à 1 an pendant toute la période de garantie décennale.

Le renouvellement du mandat n’est pas automatique et doit être voté en assemblée générale à la majorité absolue. Il est également possible de fixer une durée plus courte si les copropriétaires le décident en AG.

En cas de renonciation au mandat, le syndic est tenu de respecter un délai de préavis de trois mois.

Il est à noter qu’aucune durée minimale n’est prévue pour un mandat de syndic.

Que se passe-t-il lorsque le mandat expire ?

Lorsque le mandat du syndic arrive à son terme, plusieurs situations peuvent se présenter. Si le contrat n’est pas renouvelé, le syndic doit convoquer une Assemblée Générale pour la désignation d’un nouveau syndic avant l’expiration de son mandat.

Dans le cas où le syndic ne prend pas cette initiative, le Conseil Syndical peut convoquer une Assemblée Générale Extraordinaire pour désigner un nouveau syndic.

Il peut également y avoir une prolongation temporaire du mandat en cas de circonstances exceptionnelles, comme ce fut le cas pendant la période de confinement liée à la Covid-19 où les contrats de syndic expirés ont été maintenus jusqu’à la prise d’effet du nouveau contrat du syndic désigné par la prochaine assemblée générale.

Il est à noter que tous les actes accomplis par un syndic dont le mandat est expiré sont nuls, à l’exception de ceux accomplis pour la conservation de l’immeuble.

Le contrat de syndic

Éléments clés du contrat de syndic

Le contrat de syndic, encadré par la loi ALUR du 24 mars 2014, est l’outil qui formalise les obligations et les responsabilités du syndic. Il est constitué de plusieurs éléments clés, dont :

  • La durée du mandat : généralement de trois ans, elle précise les dates de prise d’effet et d’échéance du contrat.
  • La rémunération : elle doit être détaillée et doit correspondre à des prestations précises. Elle peut être forfaitaire ou complémentaire en fonction des tâches effectuées.
  • Les garanties professionnelles du syndic : elles doivent être mentionnées dans le contrat, notamment les références aux polices d’assurances obligatoires.
  • Les conditions d’exécution de la mission : elles définissent les obligations du syndic en conformité avec la loi du 10 juillet 1965.

Il est crucial de bien comprendre chaque point pour garantir une relation saine entre le syndic et la copropriété.

Renouvellement et fin du contrat de syndic

Lorsqu’il est temps de considérer le renouvellement du contrat de syndic, plusieurs options sont possibles. Le contrat peut être renouvelé pour une nouvelle période, généralement trois ans, par un vote en assemblée générale. Dans certains cas, les copropriétaires peuvent décider de ne pas renouveler le contrat du syndic, soit parce qu’ils ne sont pas satisfaits de son travail, soit parce qu’ils souhaitent changer de syndic pour une autre raison.

Si le contrat n’est pas renouvelé, il est crucial de suivre une procédure de nomination d’un nouveau syndic. L’assemblée générale des copropriétaires est responsable de la prise de cette décision et fixe les dates de fin du contrat actuel et de début du nouveau contrat. Si aucun nouveau syndic n’est nommé, les copropriétaires peuvent saisir le tribunal judiciaire pour qu’un syndic provisoire soit nommé.

Il est également possible de mettre fin au contrat de syndic avant l’expiration du mandat en cas d’inexécution suffisamment grave de la part du syndic. Cette procédure est plus complexe et nécessite généralement l’intervention d’un avocat.

Transfert des mandats de syndic

Lors d’un changement de syndic, le transfert des mandats est une étape essentielle. Cette procédure, encadrée par la loi, implique le transfert des documents et informations de l’ancien syndic au nouveau. Ce dernier, ou le président du conseil syndical, peut mettre en demeure l’ancien syndic de transmettre ces documents.

Ce transfert doit s’effectuer dans des délais précis. Par exemple, les éléments bancaires essentiels doivent être transmis dans les 15 jours suivant la fin du mandat. De manière générale, le transfert doit se faire dans un délai de 30 jours après la fin du mandat.

En cas de non-respect de ces délais, des mesures peuvent être prises. Si l’ancien syndic ne répond pas à la mise en demeure, le nouveau syndic ou le président du conseil syndical peut demander au président du Tribunal de Grande Instance de forcer la remise des documents et des fonds.

Il est à noter que le transfert des mandats concerne également les situations où un cabinet de syndic est racheté. Dans ce cas, la copropriété doit être consultée et le changement de syndic doit être voté en assemblée générale.

 

Changer de syndic : comment et pourquoi ?

Comment changer de syndic en 5 étapes

Changer de syndic peut être motivé par diverses raisons, telles que l’insatisfaction des services rendus, les honoraires trop élevés ou simplement l’envie de renouveau. Voici les 5 étapes clés pour opérer ce changement :

  1. Expression des besoins de la copropriété : Identifiez ce qui ne fonctionne pas avec le syndic actuel et définissez ce que vous attendez du nouveau.
  2. Mise en concurrence : Recherchez plusieurs syndics, professionnels ou non, qui correspondent à vos attentes.
  3. Analyse des contrats proposés : Comparez les offres en prenant en compte les prestations, les honoraires et les modalités de chaque contrat.
  4. Vote en assemblée générale : Inscrivez le projet de désignation du nouveau syndic à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale. Une majorité absolue est nécessaire pour approuver ce changement.
  5. Transmission des documents : Après le vote, l’ancien syndic doit transmettre tous les documents de la copropriété au nouveau syndic dans un délai précis.

Ces étapes nécessitent une planification anticipée, notamment pour la mise en concurrence et l’inscription à l’ordre du jour de l’assemblée générale. Alors, commencez dès maintenant pour assurer une transition en douceur.

Mise en concurrence et choix d’un nouveau syndic

La mise en concurrence des syndics est une étape essentielle pour choisir un nouveau syndic. Cette phase, qui doit être réalisée en amont, permet aux copropriétaires de comparer plusieurs offres et de choisir la plus adaptée à leurs besoins. Pour cela, le conseil syndical doit :

  • Rechercher des syndics potentiels : Cette recherche peut être basée sur des recommandations, des recherches en ligne ou des consultations auprès de la Chambre de commerce.
  • Demander des devis : Chaque syndic potentiel doit fournir un devis détaillé comprenant la rémunération forfaitaire annuelle et les prestations incluses.
  • Analyser les offres : Les copropriétaires doivent examiner chaque proposition en tenant compte du sérieux du syndic, du taux de satisfaction des autres copropriétés qu’il gère et des prestations proposées dans le contrat.

Il est aussi recommandé de vérifier si le syndic détient une carte professionnelle « gestion immobilière » ou « syndic » et une garantie financière suffisante.

Lors de l’assemblée générale, les copropriétaires voteront pour le choix du nouveau syndic. Il est important de noter qu’un syndic en exercice peut aussi être mis en concurrence.

Cas particuliers : changement en cours de mandat

Dans certains cas, un changement de syndic peut être nécessaire en cours de mandat. Cela peut être dû à une insatisfaction quant à la gestion du syndic ou à une faute grave de ce dernier. La révocation du mandat du syndic est alors possible, mais elle doit respecter certaines conditions :

  • La révocation doit être justifiée par un motif légal et sérieux, par exemple une mauvaise gestion de la copropriété.
  • La décision de révoquer le syndic doit être votée en assemblée générale et obtenir une majorité des voix des copropriétaires.
  • Le syndic doit être informé de la révocation et des motifs qui y ont conduit.

Il est à noter que le syndic actuel doit être révoqué avant qu’un nouveau syndic puisse être nommé. Une mauvaise coordination de ces étapes pourrait entraîner une période sans syndic, nuisible à la bonne gestion de la copropriété.

Gestion des copropriétés et rôle des copropriétaires

L’implication des copropriétaires dans la gestion de l’immeuble

Le rôle des copropriétaires ne se limite pas à choisir un syndic : ils sont aussi impliqués activement dans la gestion de l’immeuble. Cette implication se manifeste d’abord par leur participation à l’Assemblée Générale. C’est lors de cette réunion qu’ils votent les décisions concernant la copropriété et contrôlent l’action du syndic.

En outre, des copropriétaires peuvent être élus pour faire partie du Conseil Syndical. Ce conseil assiste et contrôle le syndic dans ses missions. Il vérifie notamment la comptabilité du syndicat, la répartition des dépenses et les conditions de passation et d’exécution des contrats. Les membres du conseil syndical jouent donc un rôle clé dans la gestion de l’immeuble.

Enfin, il est à noter que tout copropriétaire peut se porter candidat pour devenir syndic bénévole. Cette option peut être intéressante pour les petites copropriétés, à condition que le syndic bénévole dispose du temps et des compétences nécessaires pour assurer sa mission.

Obligations des copropriétaires envers le syndic

Les copropriétaires ont plusieurs obligations envers le syndic pour le bon déroulement de la gestion de la copropriété :

  • Paiement des charges : chaque copropriétaire est tenu de s’acquitter de ses charges auprès du syndic. Ces charges sont réparties en fonction des tantièmes de chaque lot.
  • Respect des décisions de l’assemblée générale : les copropriétaires sont tenus de respecter les décisions prises lors des assemblées générales, que le syndic est chargé de mettre en œuvre.
  • Communication d’informations : les copropriétaires doivent communiquer au syndic toutes les informations nécessaires à la bonne gestion de la copropriété (par exemple, tout changement concernant leur lot).
  • Participation aux assemblées générales : les copropriétaires sont tenus de participer aux assemblées générales, ou de se faire représenter.
  • Respect du règlement de copropriété : ce document, qui encadre la vie de la copropriété, doit être respecté par tous les copropriétaires. Le syndic est chargé de veiller à son application.

Comment mettre fin à un mandat de syndic ?

Mettre fin à un mandat de syndic peut s’avérer nécessaire dans certaines situations. Cela peut être dû à une mauvaise gestion de la copropriété, à une insatisfaction des copropriétaires ou encore à une volonté de changement.

La fin d’un mandat de syndic peut être initiée de plusieurs manières :

  • Fin naturelle du mandat : Le contrat du syndic a une durée définie, généralement de 1 à 3 ans. A la fin de cette période, le mandat prend fin naturellement. Si les copropriétaires souhaitent changer de syndic, ils peuvent simplement ne pas renouveler le mandat.
  • Révocation du mandat par l’assemblée générale : Il est possible de révoquer le mandat d’un syndic avant la fin naturelle de celui-ci. Cela nécessite une décision de l’assemblée générale des copropriétaires. Pour cela, la question de la révocation doit être inscrite à l’ordre du jour de l’assemblée.
  • Démission du syndic : Le syndic lui-même peut décider de mettre fin à son mandat, pour diverses raisons. Cependant, il doit respecter un préavis de trois mois avant de renoncer à son mandat, comme stipulé par la loi ALUR.

Il est important de noter que la mise fin au mandat du syndic doit être précédée d’une mise en concurrence de plusieurs syndics pour assurer la continuité de la gestion de la copropriété.

Syndic provisoire : quand et comment ?

En entrant dans une nouvelle copropriété, il est courant de désigner un syndic provisoire. Celui-ci est généralement choisi par le promoteur immobilier, qui négocie également les termes du contrat. Ce syndic provisoire dispose d’un mandat d’une année à compter de la naissance de la copropriété, c’est-à-dire lorsqu’un premier appartement est remis à son propriétaire.

Durant cette année, le syndic provisoire est chargé de convoquer une assemblée générale. C’est lors de cette réunion que les copropriétaires peuvent décider de renouveler le mandat du syndic provisoire, ou de choisir un autre syndic. Dans tous les cas, une mise en concurrence des syndics est obligatoire.

À noter que le syndic provisoire a l’obligation de soumettre à l’ordre du jour de l’assemblée générale un ou plusieurs contrats de syndic. Les copropriétaires sont alors libres de choisir le syndic qui leur convient le mieux.

Donc, pour résumer, la désignation d’un syndic provisoire est une étape importante lors de la création d’une copropriété. Cela permet d’assurer une gestion efficace de la copropriété dès le début, tout en laissant le temps aux copropriétaires de choisir le syndic qui leur convient le mieux.

Missions spécifiques du syndic

Le syndic a des missions spécifiques qui vont au-delà de la gestion quotidienne de la copropriété.

  • Il est chargé de l’application du règlement de copropriété et de la mise en œuvre des décisions votées en assemblée générale.
  • Il peut aussi, après autorisation expresse de l’assemblée générale, conclure avec le syndicat des copropriétaires une convention portant sur des prestations de services supplémentaires.
  • Le syndic peut aussi, en cas d’urgence, prendre des décisions seules, qui seront ensuite ratifiées par l’assemblée générale.
  • En situation particulière, le syndic peut être amené à démissionner, ce qui nécessite une nouvelle élection pour le remplacer.

Il est donc essentiel pour le syndic de faire preuve de disponibilité et d’adaptabilité pour faire face à toutes les situations qui peuvent se présenter au cours de son mandat.

Le syndic dans la copropriété : est-ce obligatoire ?

Oui, avoir un syndic dans une copropriété est une obligation légale en France, régulée par la loi du 10 juillet 1965. Le syndic, qu’il soit professionnel ou non professionnel choisi parmi les copropriétaires, est essentiel pour l’administration et la gestion financière de l’immeuble. Cette obligation s’applique à toutes les copropriétés, qu’elles soient verticales ou horizontales, grandes ou petites. Même les copropriétés avec un budget prévisionnel faible et un nombre réduit de lots sont concernées. Pour les copropriétés neuves, le promoteur met généralement en place un syndic provisoire pour 1 an, avant l’élection d’un nouveau syndic lors de la première assemblée générale.

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Notre rôle ne se limite pas à la gestion courante : nous sommes à vos côtés pour veiller au respect du règlement de copropriété et pour représenter le syndicat des copropriétaires dans toutes les démarches nécessaires. Lorsqu’il s’agit de renouveler ou de mettre fin à un mandat de syndic, Copro’Assist apporte son expertise pour faciliter la prise de décision en assemblée générale, en proposant des solutions adaptées qui répondent aux attentes des copropriétaires tout en optimisant les coûts et en préservant la qualité de la gestion.

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